Viste au siège de la DGRF

- Non Monsieur, vous ne pouvez pas rentrer !
- Comment ça je ne peux pas rentrer ?
- Non Monsieur, vous ne pouvez pas. Ce sont les bureaux de la Direction Générale des Renseign…
- Mais je sais très bien où je me trouve abruti !
- Je vous prie de rester correct Monsieur. Sinon, nous serons contraints d’utiliser la force.
- Savez-vous que je suis le Ministre de l’Intérieur ?
- Et alors ?
- Et alors, je crois bien que vous allez bientôt faire la circulation à Torfulu si vous ne me laissez pas pénétrer dans les bureaux de la DGRF.
- Des menaces ? Et contre un agent de la sécurité de la DGRF ? Ca va chercher loin ça Monsieur, attention !
- Mais bon sang ! Je suis votre patron !
- Faux ! Notre patron est le chef de la DGRF.
- DGRF qui dépend directement de mon Comité nom d’un biniou !
- Calmez-vous Monsieur, calmez-vous !
- Lâchez-moi imbéciles, mais lâchez-moi…
- Allez les gars ! Foutez-le dehors ! Ouste ! Il fait pas du tout Ministre en plus. J’suis sûr que c’est un mythomane compulsif.

Clara qui avait commencé la réunion de la DGRF sans le ministre qui s'était fait attendre entendit une certaine agitation, à l'extérieur.

-Oh mon dieu, monsieur Ruffin veuillez nous excuser, messieurs descendez immédiatement vous allez entendre parler de moi ! Il s'agit des bureaux de la DGRF-E et j'ai mis un point d'honneur à la sécurité. Il faudra aussi aue j'enlève le cadre de Mr Zavappa à l'occasion.
Confuse, Clara appela immédiatement les services habilités qfin de garantir à Tod Ruffin l'accès au batiment dans son ensemble, un tel événement ne pouvait se reproduire.

-En attendant, que nous prenions vos empreintes et autres formalités, voulez-vous un ..café, monsieur le ministre ?

Tod réajusta sa veste et décocha un regard victorieux aux hommes efficaces de la sécurité. Ceux-ci soutenaient son regard sans sourciller. C’est davantage le courroux de leur patronne qui les mettait dans l’embarras. Tod oublia les molosses – qui n’auraient aucune difficulté à l’évacuer – et répondit à Clara.

- Merci Madame la Directrice. Votre service d’ordre est particulièrement… efficace. Si le même le Ministre ne peut s’introduire dans vos locaux, j’imagine bien que la difficulté doit être encore plus insurmontable pour des terroristes. J’accepte le café… Oui ? [dit-il à un agent qui vint prendre ses empreintes]… Ah ! Je vois. Ca tache ce machin ? Non ?! Faudrait pas que ma femme croit des choses.

EL/ Je viens de donner les droits d'administration sur le groupe dgrf à Clara Meyer. /EL

Tout est en ordre monsieur le ministre, vous pouvez entrer.
Pardonnez le dérangement, vous aurez bien sur désormais accès en illimité à nos installations.

Merci beaucoup Mme la directrice. Je suis ravi de pouvoir rendre visite à vos troupes.

Pour lui foutre un coup d'pied bien placé, chui là au cas où ! Pensez à moi si vous'vez b'soin.